Hommage à Gérard Genette, "un amoureux des mots"

Il m'a ouvert les yeux sur la littérature. Quelle découverte pour moi que la lecture des Figures, dévorées comme un feuilleton policier ! Peu de journaux parlent hélas de sa disparition.

Voici l'article que lui consacre Le Point.

Quelque chose de merveilleux : la vie

Un foetus sauve sa mère en se sauvant lui-même

Mort d'Yves Bonnefoy le 1er juillet 2016

Yves Bonnefoy est mort l'année dernière, on n'en a presque pas parlé

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2016/07/01/mort-d-yves-bonnefoy-poete-traducteur-et-critique-d-art_4962338_3382.html

Umberto Eco

La rubrique nécrologique continue. Connu pour Le Nom de la Rose, il m'a davantage impressionnée pour ses réflexions sur le monde, comme il va.

Eco pense.

2016, une hécatombe

Delpech, Galabru, Paul Bley (pianiste avec Parker, Mingus, Coleman), Boulez, Spitzer,  Cometti, Courrèges, et j'en oublie...

Et maintenant, David Bowie à 69 ans

Improbable interview de Drucker en 1977, mais toujours cette simplicité, cette élégance...
Grande classe...

Lien vers l'interview

2016 ?

Farewell...

Ceci ou Cela ?

Probablement les deux. Pôoooooovre Blériot. Sans oublier le "i" entre les sons [r] et [o] ? ou plutôt et aussi, en l'oubliant. Les deux encore une fois. Tout comme l'âne de Buridan.

Légende

Bonnemaison : le verdict

Un verdict rendu la main tremblante (par Pascale Robert-Diard)

L'opinion commune semble confondre allégrement euthanasie et droit à mourir dans la dignité. Dans l'air du temps toutes les confusions sont possibles.

Le cynisme de ce médecin, qui agit dans la toute-puissance de la solitude volontaire, sans l'accord des victimes ni de leurs proches, sans prévenir ces derniers, qu'ils puissent être présents dans les derniers instants, me fait froid dans le dos.
Il faut remonter les comptes rendus précédents, notamment celui où PRD fait état - avec la discrétion qui la caractérise - des antécédents dépressifs de Bonnemaison.

Je reste perplexe et plutôt révoltée de la légèreté avec laquelle des sujets aussi graves sont tranchés sous prétexte que les choses "évoluent". Une évolution ? Un droit de vie ou de mort qui me révolte.